Il imagine ses villageois vêtus d'une djellaba* flâner dans les ruelles étroites, croiser des marchands à dos d'âne ou des nomades* à dos de chameau. Des étals pleins d'épices et de marchandises, apportées par des caravanes* des pays d'Afrique et d'Orient, invitent les passants à rêver des contrées lointaines. Des parfums de mille fleurs s'élèvent au ciel tandis que des étoffes multicolores se reflètent dans les yeux des badauds. |